L’écologie dans le monde cosmétique

Le monde cosmétique, à l’instar de tous les secteurs liés à la consommation, a un impact sur la planète. Mais alors, quels sont les gestes effectués par les grands acteurs ?

Le schéma est simple. Les consommateurs demandent et les commerciaux répondent. Embarqués dans la course, ces derniers cherchent à tout prix à rivaliser avec les autres, à se créer une place dans la jungle. Le rythme s’accélère. De plus en plus de personnes consomment et de plus en plus d’entreprises fournissent. Cependant, une prise de conscience importante a dû se faire. En effet, dans cette folle course, un léger détail a été négligé. Pour vendre une crème, il faut bien la produire. Et puis, après l’avoir produite, il faut bien l’emballer. Et une fois cette crème vendue et utilisée, elle termine à la poubelle. Un camion passe et ce joli pot vide fini certainement brûlé au fin fond d’une décharge à ordures. Durant chacune de ces étapes, de nombreuses ressources sont utilisées. Et là est le problème. Ou plutôt désormais : le challenge.

Grâce à cette prise de conscience collective, lindustrie du cosmétique peut diminuer son impact sur l’environnement.

Des petits gestes sont réalisés par certaines marques pour supprimer les emballages plastiques, améliorer les ingrédients utilisés ou réduire le poids des emballages pour diminuer les émissions de CO2.

À l’instar de Typology, certaines marques tentent réellement de relever ce défi écologique. La DNVB française pense qu’en ne gardant que le strict minimum, le produit devient optimal.

Lorsque j’ai eu l’opportunité de créer une marque de soins entièrement nouvelle, j’ai rassemblé une équipe d’experts en hygiène et soins, avec une mission en tête : proposer une alternative à des consommateurs exigeants, face à un univers de consommation de masse complexe et opaque .

Ning Li, fondateur de Typology

Ces actions et cette sensibilité que les entreprises essaient de mettre en place portent effectivement leurs fruits. L’Oréal chiffre nombreuses de ces performances et permet d’illustrer ce changement.

L’Oréal a diminué de 4x ses émissions de dioxydes de carbones en moins de 10 ans.

Source : https://fr.statista.com/statistiques/508020/emissions-co2-loreal/

L’industrie du cosmétique impacte ainsi l’écologie, mais de nombreuses marques se battent pour faire diminuer les conséquences. Consommons futés !

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